L'époque moderne
L'EPOQUE MODERNE, difficultés d'études
Désormais étudiée dans les universités et les laboratoires, la dragonologie est définitivement sortie de l'ombre au XXe siècle : une bonne libération pour les pauvres savants considérés comme fous jusque là.
Science à part entière pour tous :
C'est dans un laboratoire que l'on a le plus de chance de rencontrer un dragonologue. Cette discipline, autrefois ésotérique, est maintenant une vraie science pour tous, devenue une branche de la zoologie qui profite de tous les progrès technologiques d'aujourd'hui. Des articles de dragonologie apparaissent dans de grands magazines comme « Nature » ou « Science ». C'est une ultime preuve de reconnaissance scientifique !
Les secrets de la génétique :
C'est depuis une vingtaine d'années que les progrès de la génétique draconique sont fulgurants ! La quasi-totalité du génome du Draco occidentalis classique a désormais été séquencée, et de nombreux gènes ont été identifiés. Parmi bien d'autres découvertes fascinantes, on a ainsi repéré le gène qui permet au dragon de cracher du feu. C'est en le manipulant que l'on a donné naissance à des dragonnets crachant de l'alcool pur, des crapauds et même du pétrole ! Certains scientifiques n'hésitent pas à y voir une issue possible à la crise pétrolière.
Une espèce menacée :
Les progrès de la dragonologie avancent très vite, mais leur sujet d'étude est en voie de disparition. Traqués depuis des siècles par les hommes, c'est grâce à leur puissance physique qu'ils ont réussi à se défendre contre eux, mais aujourd'hui, les braconniers sont de plus en plus ingénieux et inventent de nouvelles méthodes qui ne leur laissent aucune chance.
Alors,…
AGISSONS POUR LA SAUVEGARDE DES DRAGONS !
La pointe de la modernité :
La dragonologie actuelle ne cesse de progresser, c'est pourquoi les savants de cette discipline se divisent en de nombreux groupes : éthologie (étude du comportement des dragons), physiologie (l'anatomie), biologie de l'évolution, génétique, paléontologie (étude des dragons du passé), etc.
Derniers dragons sauvages :
Le travail sur le terrain existe encore mais se raréfie : les dragons étant en voie de disparition, il est de plus en plus difficile de les observer dans leur milieu naturel. Alors, les ossements, les organes gardés dans du formol sont les principaux centres de recherches. Certains continuent les expéditions, mais la quête d'un spécimen intéressant se fait très ardue…
Cursus dragonologique :
Enfin vient l'enseignement. Il est vrai que le Collège de dragonologie (voir article « les grandes découvertes ») est la seule institution vraiment reconnue dans ce domaine. Mais de nombreuses classes et écoles ont ouvert leurs portes et on peut désormais étudier cette discipline dans des universités aussi réputées qu'Oxford, Harvard ou Berkeley ! La relève est assurée pour les siècles à venir. Et nous retrouverons notre lot de dragonologues expérimentés !